• SCOOP : docteur visotzkiy-mister brassens.

    alain baudris, baudruche, baltrigue, baltimore


    Nous apprenons ici paris et iphigénisse cachou menthe la jolie, que Renoir a été moultement inspiré dans son récit du docteur chose et monsieur opale.

    C’est évident me direz-vous, c'est jekyll et hide en bonne et due forme.vous nous apprenez niet.

    Mais malgré les meilleures volontés du monde, jekyll et hide, hitchcock et autres psychoses, renoir n'a pas su cacher sa véritable source d’inspiration : visotzkiy et son mystère.


    La merveille chantante Russe était effectivement parfois en proie à des transes néphrétique coqueliquantes d’un genre particuliers au cours de ses répétitions hurlantes, au point qu’un jour il s’est transformé et est apparu sous nos yeux ébahis :

    george brassens, l’âme damnée méditerranéenne du slave.


    Secret d’état, visotskiy-brassens n’a jamais étalé sa double vie de scène au grand jour du grand damn des petits et grands fans de l'un et de l'autre.

    Il aura fallu l’obstination et la clairvoyance d’un renoir pour n’y voir que du feu rouge (russe, visotsky himself) et vert, c’est-à-dire notre Brassens sétois patoisant.


    Quelques adulateur en couche s’en sont trempé d’émois en apprenant la nouvelle.
    Il sera donc à présent convenable de dire : « j’ai l’honneur de ne pas Вы спросите руки » et de chanter « sale petit человек » et non sale petit bonhomme comme on a cru si longtemps.


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