•  bashir reno, fabuliste des poulains

     

    6 palotin, ou 22 avril 2012 en calendres paiennes, le temps était-sera (gandahar oblige) aux urnes. funéraires ou pas, l'avenir nous le dira.

    Voici une photo prise juste avant le résultat officiel du coté de la capitale. Sans miracle il suffisait de lire le ciel, on fait bien trop cas des statistiques concrètes:

    timide éclaircie colorée hollandaise sur nuages FN noirs. CQFD.

     

    l'astronomie ya que ça de vrai.


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  •  baudris, CQFD

    Après de longs efforts et beaucoup de patience l'archéologie moderne est venue à bout

    d'un mystère de plus, ou de moins selon d'où  qu'on regarde. voici donc la scène de la fresque d'ixchel et itzmanaah, déèsse de la fertilité et shaman originel expliquée en détail:

     

    archéologique

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    le carbone 14 n'a qu'à bien se tenir.


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  • Paolo danlcouloir, houga bouga les bons tuyaux

     

    La mode ça va ça vient, c'est comme une chanson populaire, la preuve, on vient de découvrir une nouvelle tendance flash entre 22h et 23h15 ce soir:

    Il est tres tres supacool boy d'analyser ne me quitte pas de Brel. Alors comme j'étions un peu quiche, nous merci l'addition,  Voilà t'y bien un texte souvent décrié à l'assassin OSS, méconnu, mécréant, scié, enfin ces jolis vers pas toujours saisis, je me permet en tant qu'huissier chiant, de me vous les traduire:

     

    "on a vu souvent rejaillir le feu d'un ancien volcan

    qu'on croyait trop vieux

    il est patati

    des terres brulées donnant plus de blé qu'un meilleurs avril"

     

    Couché sur papier et sous alcool au dernier degré par un belge sympathique d'accent et d'oeil mais ammoché comme le raisin par les pluies, on trouve comme vous vous en doutez quelques  coquilles-c'est y dur d'écrire quand on voit trois feuilles au lieu d'une- et autres broutilles étourdantes qui n'auront pas échalopées allo, diteur à verti, ou montez verti, faites comme chez vous.

    il fallait lire "d'un ancien wolfgang qu'on croyait trop vieux", ce qui fait sens  si on lit le texte original suivant "donnant plus de blé qu'un meilleurs à vrille":

    Au moment où Brel se fourvoie dans ce chef-d'oeuvre bélant c'est l'explosion hip-hop, il écrit impatient et pouf: le soufflé retombe, tout le monde s'en cartonne comme de l'an quarante du hip-hop, et tant pis pour les street danceurs et nouveaux performers de rues, mendiants showmen qui s'étaient mis à la discipline. Le temps  de dire Yo c'est fini.

    Il fallait donc piger tout simplement et beaucoup l'auront compris malgré la déformation du texte "moderne",  que faire  le derviche tourneur retourné ou la toupie sur le ciboulot ne rapporte pas lourd aujourd'hui ("des terres brulées donnant plus de blé qu'un meilleurs à vrille") et qu'il vaut encore mieux prendre son violon, jouer des classiques quand on fait la manche dans le métro. (un ancien wolfgang)

    C'était à éclaircir tout de même, histoire de rappeller l'engagement militant d'un chanteur-acteur qui s'est toujours affiché aux cotés du peuple le plus démuni. Cette chanson est donc comme dit gaughan, "a different kind of love song", pas une bérésinade lovante qui saoule même sa tasse de thé, mais une preuve d'amour pour les battants des rues et les défen-sueurs du hip hop encore et contre touttoumtoum tchak.

    Merci brel, peace.   represent-

     


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